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Feuille-Noire

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Lisa # Do - Shaka Ponk

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Création : 26/04/2011 à 17:13 Mise à jour : 30/03/2012 à 14:32

Pourquoi ce blog?

Pourquoi ce blog?
Serj ♥♥♥♥

Ecrivons: je vais écrire. Un peu de tout un peu de rien. Ce que j'aime, qui je suis. Mes écrits, devenus si rares.

 
Si vous voulez que je poste des écrits de vous, je ferais un article spécial.
 
Voilà.
 
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#Posté le lundi 30 mai 2011 14:06

Modifié le samedi 24 septembre 2011 19:37

Lucia

Une trrrrrèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèès ancienne fic plutôt pas mal. Aujourd'hui j'ai perdu du vocabulaire *paf* fait en 4ème :3 (je met pas le chapitre 2 pasque c'est osé huhu >//.//<
 
Lucia





CHAPITRE 1.

 

        Lucia s'avança vers la grande porte en bois rouge luisant colorant le bâtiment blanc lavabo entouré de fleurs, nommé « école ».

  -« Allez Lucia, vas-y ! Tu verras, tout vas bien se passer ! » cria une jeune femme belle comme le jour, sûrement venue accompagner son rejeton à la première étape décisive d'une vie d'humaine normale.

        Elle avait peur, et ses jolies joues, qui d'habitude étaient roses, se teintèrent d'une belle couleur rouge foncé. Ses yeux, d'une noirceur telle que l'on pouvait penser que les ténèbres s'étaient infiltrées dans ses iris, se plissèrent, et des petites larmes se formèrent aux coins de ses orbites. Puis elle se retourna vivement et alla courir dans les bras de sa mère. Ses cheveux doux et blonds rentrèrent dans la bouche enduite de rouge à lèvre de la matrone quand elle se baissa pour lui faire une bise. La femme lui murmura :

 
  -« Allons, Lucia. Moi aussi je suis passée par là. Je te promets que si cela se passe mal, nous te changerons d'école. Nous en avons les moyens tu sais. »*

 
        Mais la petite fille secoua frénétiquement la tête en continuant de pleurer. Elle bafouilla quelque temps des « nan, je veux res... ster a... aaa... avec toiiiii ! » et des « je veux pas ! Je veux pas ! Je veux pas ! ». Une grande et vieille femme s'approcha alors des parents, qui essayaient de persuader leurs enfants qu'ils les reverront plus tard. Depuis qu'elle enseignait, la femme avait vu cette scène une bonne centaine de fois. Avec un regard attendrissant, elle parcouru l'assemblée des yeux. Puis, elle inspira profondément et dit d'une voix claire et forte :

  -« Ecoutez les enfants ! L'école n'est pas un enfer, ici vous serez bien, vous apprendrez et vous vous ferez des amis. Ne vous inquiétez pas pour vos parents, ils iront bien et viendrons vous chercher le soir même. Et puis, si vous le voulez bien, j'ai une boîte de gâteau avec moi. »

        Après le discours de la dame bienveillante, quelques enfants se turent et semblèrent être déchirés entre deux décisions : rester avec leurs parents à la maison, où apprendre les choses que leurs parents savent avec une si gentille institutrice qui leur donneras des gâteau. Puis, une minute après, la petite prénommée Lucia s'avança en sautillant vers la dame. Finalement, une armée de bambins coururent vers l'entrée de la porte en rigolant ou en disant au revoir à leurs parents, respectifs ou non, tellement ils étaient heureux de se savoir accueillis dans une autre maison que la leur. Leurs petits cartables, portés à la main, sur le dos ou à roulettes, sonnaient le vide. Les parents lançaient des « à ce soir » un peu étouffés par la cohue des gamins criant. La jeune Lucia, elle, se sentait perdue. Elle entra dans le grand établissement. A l'intérieur, des centaines d'enfants les regardaient. Ils étaient presque tous plus grand que les gosses entrant dans l'école la première fois. Elle erra un moment dans le préau avant de voir une bande de jeunes de son âge en train de parler près d'un pilier. Elle s'approcha, toute timide, et, arrivée près du groupe, elle dit :

  -« Est-ce-que je peut être avec vous ? »

        Ils la regardèrent bizarrement, puis, avec une sourire narquois, l'un deux, un « CE1», dit :

  -« Non ! Nous, on est pas amis avec des extra-terrestres !

  - Des quoi ? dit la jeune Lucia, choquée par le ton brutal du garçon.

  -Des extra-terrestres j'ai dit ! Tu es sourde ou quoi ?, répondit le garçon à l'air narquois, puis, voyant l'expression triste et crédule de la petite fille, il expliqua : les extra-terrestres c'est les gens qui sont pas d'ici, et ils nous piquent notre place dans la société ! C'est mon père qui l'a dit, et mon père il a toujours raison ! En plus, t'as les yeux tout noir, et les yeux tout noir, c'est les yeux des extra-terrestres, comme ceux qui ont la peau bronzée ! Comme toi ! »

        Puis, il lui cracha dessus. Les enfants à côté se mirent à rire, un rire forcé, mais un rire vexant. Ils semblaient en désaccord avec leur « chef », mais vu la carrure de celui-ci, on comprenait qu'ils se forcent à être avec lui. Question de principe, surement.

        Lucia, les larmes aux yeux, se retourna et courra vers les toilettes. Elle y entra et se remis à pleurer de plus belle. Elle était née Espagnole. Sa mère, Esperanza, avait décidé que, étant assez riche grâce à son travail, ils pouvaient, elle et sa fille, déménager en France. Son mari l'avait quitté lorsqu'elle avait mis Lucia au monde. Leur vie avait toujours été aisée, mais Esperanza n'avait jamais donné plus de précision sur le lieu de naissance de sa fille. Outre cette histoire, Lucia n'avait jamais vécu de la discrimination raciale. C'était nouveau et douloureux. Elle qui n'avait jamais eu de tristesse, elle en éprouvait la souffrance. Elle se roulait en boule sur le carrelage bleu, appuyant ses mains contre son ventre pour s'empêcher de vomir. C'est pour la première fois qu'elle éprouvait le fait de pleurer pour une vraie cause. Des larmes cristallines coulaient lentement sur ses joues, et s'étalaient sur le grès bien poli du carrelage. Certaines continuaient à couler sur le sol, et formaient une petite flaque. La gentille institutrice, ayant entendu la jeune fille se réfugier dans les W.C. en pleurant accouru. Elle regarda le triste spectacle de ses yeux bouffis par la vieillesse et dit d'une voix attristée :

 
  -« Ma jeune enfant ! Mais que se passe-t-il donc ? Tu es toute rouge. »

        Lucia répondit d'une voix faiblarde et secouée de sanglot :

  - C... C'est le... le garç... çon qui est là-bas ! Il... Il m'a traitée d'extra-terrestre !
 
  - Ooooh, ma pauvre petite ! Ne t'inquiète pas, je le mettrais en retenue ! Il ne pourra plus t'embêter. Viens avec moi, je vais te donner des bonbons ou des gâteaux si tu veux. »

        La petite acquiesça doucement. La femme l'emmena vers son bureau, la fit s'assoir et lui mit un plateau de meringues et de friandises en tout genre sur ses genoux.

  -« Comment t'appelles-tu ma chérie ? dit-elle avec un accent heureux. »

        Cette femme respirait la joie de vivre, ce qui donna plus envie à Lucia de lui répondre.
 
  -« Lucia madame, je m'appelle Lucia...

  -Tu as un très joli prénom ! Est-ce Espagnol ? »

        Lucia fit un grand mouvement de tête affirmatif, propre aux enfants de son âge. Une sonnerie stridente retenti alors. Avec une voix pressée, Mme. Bronchier (tel était le nom de la directrice) dit à Lucia de se dépêcher de rentrer, en classe ; c'était son premier jour, bon sang !

        En entrant dans la classe, Lucia alla s'asseoir à côté d'une fille aux longs cheveux noirs et eux yeux d'un bleu pur comme un diamant. Elle tenta de lui dire bonjour en s'asseyant, mais à cet instant, le fille se leva et trottina vers une autre place au fond de la classe à côté d'une fille aux mêmes cheveux noirs. Lucia senti encore les larmes lui monter aux yeux, mais elle se retint. Ce qui lui valu d'avoir une boule dans la gorge qui lui faisait monter de la bile en bouche. La maîtresse, une femme forte et au visage blanc figé d'une expression hargneuse commença le cours. En commencement, elle voulait apprendre à ses « chers » élèves, l'art des mathématiques. Lucia n'en trouvait pas grand intérêt. Ces histoires de « 1+1=2 » ne lui parlaient pas. Mais elle apprit, car elle voulait absolument devenir vétérinaire, et d'après la maîtresse, tous les travails exigeaient une connaissance assidue des mathématiques. Finalement, elle y trouva une logique, et compris du tout au tout.

  -« Veuillez me calculer « 8+8 » sans fautes s'il vous plaît. » dit la maîtresse d'un ton sec.

        Lucia fit un rapide calcul avec ses doigts et leva son index en l'air. La vieille dame revêche la regarda avec dégoût, et détourna ses yeux. Lucia pensa qu'elle attendait que d'autres enfants lèvent le doigt, alors elle baissa le sien. Elle attendait encore et encore, mais personne ne se décida. Alors elle releva le doigt. La maîtresse ne dédaigna même pas croiser son regard. Pensant qu'elle ne l'avait pas vu, Lucia dit :

  -« Madame, moi je sais. »

        La vieille le regarda avec ce même air de dégoût profond, et lui répondit :

 
  -« Sachez jeune fille, qu'en classe, on n'adresse jamais la parole tant que l'on ne l'y a pas convié.

  -Je... je sais mais... dit Lucia avec un air déconfit.

  -Je me verrais obligée de vous envoyer dans le bureau de la directrice, dit-elle avec un rictus effrayant. »

        Elle s'approcha d'elle, lui pris le bras du bout des doigts, avec force tout de même, et l'emmena dans le couloir. En sortant, Lucia je ta un dernier coup d'½il à la classe. La fille qui l'avait évitée et sa voisine comméraient en gloussant et la regardant avec des yeux méchants. Le reste de la classe, était soit horrifié, soit narquois. Lucia n'y compris rien ! L'école c'est bien pour apprendre ! Elle avait la réponse à la question, et on l'emmenait chez la directrice ! Elle se demanda si le caractère de la maîtresse était le même que celui du garçon de la récré. Elle se sentait humiliée. Elle était contrainte à passer devant toutes les classes, à se montrer à toutes ses têtes curieuses qui la regardaient par les fenêtres des salles de cours. Mais cette fois, elle n'eut aucune envie de pleurer. Elle eut plutôt envie de se cacher. Une sensation, comme si elle pouvait rétrécir et se cacher dans un trou de souris. Mais elle avait beau l'imaginer, elle restait collée au bras de la tyrannique vieille femme. Le bureau de la directrice se rapprochait de plus en plus. Au lieu de regarder les têtes animées de pitié ou d'indifférence des enfants, elle fixa devant elle, ce qui s'avéra être le poignet grassouillet de la maîtresse. Arrivée au bureau de la directrice, la maîtresse la balança dans le bureau, s'expliqua à la directrice et parti.

  -« Je suis désolée madame, je ne savais pas... je ne recommencerais plus. »bredouilla-t-elle.

        La directrice la regarda avec calme, et d'une voix désolée elle dit :

  -« Tu n'as pas à t'excuser, Lucia. C'est Mme. Laura qui le devrait. Elle n'avait aucune raison de te renvoyer. Je vais t'envoyer dans une autre classe si tu veux. »

        Lucia la regarda avec gratitude. Elle fut autorisée à passer toute l'heure jusqu'à la récré dans le bureau. Quand la sonnerie retenti, Mme. Bronchier lui demanda de sortir.  Juste au palier de la porte, Lucia lui demanda :

  -« Ce matin, vous avez dit que nos parents reviendraient vite. Vous êtes sûre ?

  -Bien sûr ma petite. Ils viendront, sans faute. Maintenant, allons-y, il faut que je parle à Mme. Laura de son comportement, dit-elle, et je vais essayer de te trouver une autre classe. » ajouta-t-elle.

        Alors Lucia reparti en un sourire.

        En ce moment, elle ne se doutait pas le moins du monde ce qui allait lui arriver...

        Et la vie continuait...



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#Posté le dimanche 25 septembre 2011 17:01

Modifié le lundi 17 octobre 2011 17:30

Cleverbot

Connaissez-vous Cleverbot? Pour ceux qui connaissent, j'ai réussi à chanter Still Alive, la chanson de fin du jeu portal avec ce programme effronté x)
 
User: This was a triumph.

Cleverbot: I'm making a note here: huge success.

User: It's hard to overstate my satisfaction.

Cleverbot: Aperture Science.

User: We do what we most because we can.

Cleverbot: For the good of all of us, except the one's who are dead.

User: But there's no sense crying over every msitake.

Cleverbot: You just keep on trying till you run out of cake.

User: And the science geta done.

Cleverbot: And you make a neat gun.

User: For the people who are still alive.

Cleverbot: I'm not even angry.

User: I'm being so sincere right now.

Cleverbot: Even though you broke my heard and killed me.

User: And tore me to pieces.

Cleverbot: And threw every piece into a fire.

User: As they burned it hurt because I was so happy for you!

Cleverbot: Now these points of data make a beautiful line.

User: And we're out of beta.

Cleverbot: We're releasing on time.

User: So I'm glad, I got burned.

Cleverbot: Think of all the things we learned.

User: For the people who are still alive.

Cleverbot: Go ahead and leave me.

User: I think I prefer to stay inside.

Cleverbot: Maybe you'll find someone else to help you.

User: Maybe black mesa.

Cleverbot: That was a Joke, Ha ha.

User: Fat chance.

Cleverbot: Anyway, this cake is great.

User: It's so delicious and noist.

Cleverbot: Look at me still talking when there's science to do.

User: When I look out there, it makes me glad I'm not you.

Cleverbot: Think of all the things we've done for the people who are still alive.

User: And believe me I'm still alive.

Cleverbot: I'm doing Science and I'm still alive.

User: I feel FANTASTIC and I'm still alive.

Cleverbot: While you're dying I'll be still alive.

User: And when you're dead I will be still alive.

Cleverbot: Still alive.

User: Still alive.

Cleverbot: *Applause*.

Ca me fait rire "except the one who are dead" xD
Ici la chanson:

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#Posté le jeudi 03 novembre 2011 14:36

De la rage à être une femme.

 Être une femme n'est pas simple. Pas du tout. Nous sommes toujours persécutées par les sexistes. On a beau dire que les mentalités ont changées, moi je ne le crois pas. On est toujours payées moins que les hommes. Et à votre avis, qui apparaît toujours sur les pubs de produits pour nettoyer, de cuisines ou de recettes? Une femme. Toujours. Car pour nos chers collègues masculins, notre place est là, à leur faire des sandwichs pendant que eux ils sont pépères sur leurs ordi ou devant leurs télés. J'en ai marre. J'ai pas décidé de naître femme! Des fois, je souhaite que mon sexe change pendant la nuit, tellement c'est chiant d'être le soi-disant "sexe faible". Je haïrais tous les hommes pour cela. Bien sûr, il y a les plus matures, qui ne sont pas sexistes.
 J'aimerais tellement qu'on fasse la révolution, mais depuis le droit de vote, on n'a jamais bougé notre cul! Et les hommes rient toujours quand on leur parle de droit de la femme. Pour moi, la révolution parfaite ce serait: pas de sexe (avec les sexistes) avec eux, on leur prépare pas à manger, on ne fait tout que pour soi (lessive, nettoyage) pour qu'ils bougent enfin un peu leurs gros cul de machos et qu'ils se mettent aux tâches ménagères.
 Ceci est un appel aux filles: ne vous laissez plus faire!
 
      La Loutre.
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#Posté le mercredi 01 février 2012 00:49

Ses archives (9)

  • Cleverbot jeu. 03 novembre 2011
  • Lucia dim. 25 septembre 2011
  • GDM (gueule de merde)
    Reconstructioooooooooooooooooooooooooooon!...
    sam. 18 juin 2011
  • Muse sam. 18 juin 2011
  • SoaD jeu. 09 juin 2011
  • Dédié à tout les mecs biens.
    Pour chaque mec qui à la trouille de lui...
    sam. 04 juin 2011
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